Ma passion pour l'astronomie est née presque spontanément vers l'âge de dix ans.
Contemplateur ou rêveur, ce sont les mots que les gens aiment bien utiliser.
Observer le ciel ça permet de se vider la tête et se confronter à une autre forme de réalité,
le très lointain qui nous entoure.
La première chose qu'on ressent c'est la diversité et la beauté de ce qu'on observe.
C'est totalement personnel et d'autres personnes ne ressentiront absolument rien.
Alors que beaucoup d'astronomes amateurs s'adonnent à la photographie, à la recherche
de la meilleure image sur Jupiter ou la Lune, j'observe essentiellement pour le plaisir visuel.
La photographie ne rendra jamais ce qu'on peut voir directement à l'oeil d'un oculaire,
ou encore mieux, d'une bino.
Très sensible aux ambiances, aux lumières, voir le crépuscule se dérouler et apparaitre
les premières étoiles, une à une, est un moment de détente et de plaisir quand on sort les télescopes.
Comme beaucoup d'astronomes amateurs, j'ai commencé avec l'atlas Will Tirion,
et l'intérêt du Goto, une fois qu'on a appris le ciel, la position des astres, est limité.
Peu le font encore mais pointer les objets Ngc manuellement et du premier coup
avec un gest facile, rapide, et efficace.
Observer le ciel ça permet de se vider la tête et se confronter à une autre forme de réalité,
le très lointain qui nous entoure.
La première chose qu'on ressent c'est la diversité et la beauté de ce qu'on observe.
C'est totalement personnel et d'autres personnes ne ressentiront absolument rien.
Alors que beaucoup d'astronomes amateurs s'adonnent à la photographie, à la recherche
de la meilleure image sur Jupiter ou la Lune, j'observe essentiellement pour le plaisir visuel.
La photographie ne rendra jamais ce qu'on peut voir directement à l'oeil d'un oculaire,
ou encore mieux, d'une bino.
Très sensible aux ambiances, aux lumières, voir le crépuscule se dérouler et apparaitre
les premières étoiles, une à une, est un moment de détente et de plaisir quand on sort les télescopes.
Comme beaucoup d'astronomes amateurs, j'ai commencé avec l'atlas Will Tirion,
et l'intérêt du Goto, une fois qu'on a appris le ciel, la position des astres, est limité.
Peu le font encore mais pointer les objets Ngc manuellement et du premier coup
avec un gest facile, rapide, et efficace.
Très rapidement à l'âge de 12 ans, je construis mon premier télescope, un 90mm,
qui atteint sans peine la magnitude 12 et permet de voir presque tous les objets de Messier.
Je restais stupéfait de pouvoir voir avec un aussi petit télescope des astres éloignés
de centaine de millions d'années lumière, et surtout surpris que l'univers est aussi gigantesque.
qui atteint sans peine la magnitude 12 et permet de voir presque tous les objets de Messier.
Je restais stupéfait de pouvoir voir avec un aussi petit télescope des astres éloignés
de centaine de millions d'années lumière, et surtout surpris que l'univers est aussi gigantesque.
L'infini de l'Univers imposent des questions concrètes à l'être humain et des défis.
On ne pourra construire un jour un miroir de 100 mètres de diamètre sur la Lune qu'après un long cheminement.
On ne sait pas ce qu'on y verra ?
Actuellement les découvertes sont nombreuses (exoplanètes, trous noirs massifs, ...)
Mais que découvrira-t-on en l'an 2671 ? Personne ne le sait.
Et puis avant que l'humanité puisse faire cela, elle devra déjà s'occuper des soucis nombreux de notre Terre.
On ne sait pas ce qu'on y verra ?
Actuellement les découvertes sont nombreuses (exoplanètes, trous noirs massifs, ...)
Mais que découvrira-t-on en l'an 2671 ? Personne ne le sait.
Et puis avant que l'humanité puisse faire cela, elle devra déjà s'occuper des soucis nombreux de notre Terre.
Même si la science apporte les réponses les plus accessibles ou intelligibles, on ne pourra jamais approcher une galaxie ou s'étonner en s'y rendant des incroyables scénarios de science-fiction sous-jacents : collision entre trous noirs, naines brunes, planètes extra-solaires, le réel scientifique va et va aller au delà de la science fiction.
Les distances inimaginables entre les étoiles empêchent de vérifier tout ce qu'on voit
c'est à la fois frustrant et ça pose des problèmes métaphysiques, pour ne pas dire religieux.
c'est à la fois frustrant et ça pose des problèmes métaphysiques, pour ne pas dire religieux.
Les sondes qu'on envoie nous rappellent les distances : au bout de 20 ans, Voyager sort à peine du système solaire...
Voir les bras spiraux des galaxies, les couleurs de Jupiter ou simplement un clair de Lune : tout est fascinant en astronomie.
Cela permet aussi de se rendre compte que finalement on n'est pas grand chose sur cette Terre.